vendredi 18 novembre 2011

Étude d'un terme en particulier : la lanterne magique

Tout d'abord, voici une image du terme dont il est question :



Il s’agit d’une lanterne magique, l’ancêtre des projecteurs au cinéma.  La lanterne magique permettait de projeter des images fixes reproduites sur des plaques de verres.  De façon plus précise, il s’agit d’un nom commun féminin et dans le Petit Robert, on dit de la lanterne magique qu’elle est « munie d'un dispositif optique permettant de projeter, agrandies sur un écran, des images peintes sur verre ».  Dans le Merriam Webster, on dit qu’elle est : « an early form of optical projector of still pictures using a transparent slide » et dans le Oxford English Dictionary, on en dit sensiblement la même chose : « a simple optical device using slides to display a magnified image on a white screen, wall, etc., in a darkened room ».  La documentation concernant ce terme est très vaste et variée et il est facile d’établir des liens très étroits entre le cinéma muet et la lanterne magique.  Ainsi, on apprend que selon TERMIUM, la lanterne magique possède le synonyme « lanterne de projection » et qu’elle est appelée de deux différentes façons en anglais : magic lantern et magic lantern slide projector.  Un site Internet infiniment riche en information est entièrement consacré à la lanterne magique : http://www.luikerwaal.com/index.htm.

vendredi 28 octobre 2011


Alejandro Jodorowski est presqu’un personnage en soi!  Cet homme est absolument fascinant et son imagination est sans borne.  El Topo et La Montaña Sagrada sont deux de ses œuvres et sûrement les deux films les plus étranges que j’ai vus dans ma vie.  Bien que les deux films d’Alejandro Jodorowski ne sont pas récents (1970 et 1973), je crois qu’ils étaient en avance sur leur temps, un pur génie cinématographique underground.

El Topo, réalisé au Mexique, en espagnol, en 1970.  Ce film, aux allures irréalistes et western met en vedette El Topo, un homme voyageant dans le désert à cheval, qui se laisse convaincre par une femme de tuer les quatre grands maîtres du désert.  S’en suit une histoire de meurtres, de renaissance et de mutants ; un réel rafraîchissement!


La Montaña Sagrada (The Holy Mountain), réalisé aux États-Unis et au Mexique, tourné en anglais et espagnol en 1973.  Jodorowski a, pour ce film, été directement inspiré du roman inachevé de René Daumal, Le Mont Analogue.  Un film où l’on raconte l’histoire d’un voleur qui, dans une quête vers le secret de l’immortalité, rencontre sept personnes qui symbolisent les planètes (dans une perspective astrologique) et leurs mauvais côtés.  À mon avis, La Montaña Sagrada est l’un des meilleurs films psychédélique de son époque.



Voici deux citations de Jodorowski (source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Alejandro_Jodorowsky)  qui relatent un peu l’homme qu’il est :         

* « La plupart des réalisateurs font des films avec leurs yeux, moi je les fais avec mes cojones »  (je traduirais « cojones » par « couilles »)

* « Une lame rouillée a une double efficacité : non seulement elle tranche mais elle empoisonne ».


jeudi 20 octobre 2011

Arborescence

Cinéma
  .1.    Musique
.1.1.   Bande sonore
  .2.    Métiers
.2.1.   Producteur
.2.2.   Scénariste
.2.3.   Dialoguiste
.2.4.   Réalisateur
  .3.    Tournage
.3.1.   Décor
.3.2.   Cadrage
.3.3.   Caméra
.3.4.   Éclairage
.3.5.   Prise de vue


vendredi 30 septembre 2011

Ouvrages sur le cinéma

BANDA, Daniel et MOURE, Jose, Le Cinéma : Naissance d’un Art 1895-1920, Éditions Flammarion, 2008.

Colloque de Cerisy (1977 : Cerisy-la-Salle), Cinémas de la Modernité : Films, Théories : Colloque de Cerisy, Klincksieck, 1981.

JOURNOT, M.T., Le Vocabulaire du Cinéma, Colin; 2ème édition, 2008.

MILLET, Rephael, Cinéma de la Méditerranée : Cinémas de la Mélancolie, Harmattan, 2002.